Pourriez-vous nous décrire les avantages de la carte mentale ?

La carte mentale c’est essentiellement pour, à partir d’un document à partir d’un livre à partir même d’une leçon qui est dite par l’oral, pouvoir mettre les idées en place par regroupement, par thème et pouvoir ensuite développer autour d’une idée.

Donc on fait la rupture avec l’aspect linéaire

On fait rupture avec l’aspect linéaire de la pensée, oui c’est ça complètement,

Donc on a le droit d’exprimer l’idée, quand elle vient

C’est ça quand elle vient, par contre, ce qui est important c’est de les regrouper, c’est vraiment on fait des paquets, tout simplement, des paquets d’idées, à tel était l’endroit et mettre des couleurs aussi, énormément de couleurs, ça permet, au niveau visuel, ça permet tout de suite de repérer.
Il ya des enfants qui sont qui sont extrêmement auditifs et d’autres très visuels, donc en mettant des couleurs, en mettant des flèches, des symboles, des images aussi parce que des enfants peuvent aussi imaginer des cartes mentales sous formes d’images et bien tout de suite ça leur rappelle mentalement quelque chose.
Après c’est développer tous ce qui est aspect verbal, on va tout verbaliser une fois qu’on a mis la carte mentale en place. A lire : utilisation des cartes mentales dans le primaire.

On va verbaliser tout ce que l’on dit, finalement parce que ça fait travailler les domaines, ça fait travailler à la fois l’espace, et vraiment utiliser l’espace feuilles pour pouvoir organiser sa pensée. Synthétiser la pensée et verbaliser ce que l’on a retenu d’essentiel, c’est aussi retirer.
C’est important car quand ils seront ensuite au collège ou au lycée, quand ils auront des textes à analyser : sur votre brouillon, vous écrivez toutes les idées essentielles de votre texte. Là, c’est plus ça, c’est effectivement prendre les idées essentielles d’un texte, mais sous forme des mots, des mots clés, sous forme de regroupement, et ben ça va permettre d’organiser cette pensée, et ensuite de la verbaliser, et ça c’es très très très important
Et là je vous ai apporté justement quelques choses en grammaire, qui a été très bien fait,
Et moi je fais un style aussi, exactement pareil à partir des classes grammaticales, donc les classes grammaticales en français sont essentielles parce que finalement, c’est ce qui va permettre de faire l’analyse grammaticale ; et bien on va regrouper sous forme simplement de mots clés, même là c’est joli parce que c’est s’organiser avec des petits cadres.
Quand les enfants le font, il faut qu’ils mettent des couleurs, ils mettent des groupes, et fait il n’y a aucun parasite, je vous ai dit que la carte mentale faut pas que ça soit surchargé de documents, d’informations, et surtout pas linéaire. Le moins linéaire possible pour que les enfants puissent ensuite s’y retrouver le plus vite possible.
Donc ça va un peu dans tous les sens, ce qui est important c’est qu’il n’y a pas un retour, y a plus l’aspect linéaire, il n’y a pas de début il n’a pas de fin, mais par contre partir à quelque chose de nouveau.
Là aussi, c’est très pratique aussi, c’est dans tous ce qui est domaine d’histoire. L’histoire ça les passionne souvent, à partir d’un moment où on parle de personnage, ils adorent, tous ce qui est croustillant, les anecdotes, comme ça les anecdotes ne se trouvent pas dans la carte mentale.

C’est vraiment dégagé que l’essentiel, et d’une notion, et donc là je vous ai apporté un autre document où l’on voit vraiment la carte, on donne la carte, donc c’est ce que le document peut qu’ils peuvent avoir sous la main, et à partir de ça, on va simplement dégager sous petits symboles, par juste un mot clé, quelques choses essentielles.

Ils vont refaire toute la leçon au niveau de la verbalisation, les enfants ils adorent ça, les cartes mentales, c’est quelque chose, ils travaillent par groupe, ils travaillent en duo ou seul, seul c’est un peu complexe.

Quand c’est un peu complexe, moi je les fais travailler par petit groupe et en même temps donc ça fait travailler l’interaction de groupe aussi.

Cela développe l’interaction des idées, donc ensemble, on cherche à voir juste l’essentiel. Donc c’est le minimum, à avoir la notion que quelqu’un s’intègre vraiment.

Et moi parfois il y a des cartes mentales que je donne en leçon, il n’y a plus de traces linéaires, c’est vraiment qu’ils vont retenir, c’est vraiment très intéressant

carte mentale

Donc la carte mentale, elle est faite soit au tableau tous ensembles, ou soit par groupe ?

Oui, par groupe ou en duo, et en individuel, faut qu’ils apprennent à faire en individuel aussi, petit à petit, parce qu’en faite quand ils arrivent au collège, ils se trouvent face à des méthodes qui sont plutôt traditionnelles, le professeur arrive, fait une heure de cours, fait son blablabla et après ils se débrouillent tous seuls pour apprendre leurs leçons, il leur donne des tartines de pages et de pages à apprendre.
Et en fait, moi ce que j’ai fait avec mon fils Théodore, pour lui c’est vraiment une organisation et apprendre à faire une fiche, simple, simplifiée, finalement il a bien compris. Au début, pour lui, ça allait dans tous les sens, il n’arrivait pas à détacher l’aspect linéaire de la chose. Donc il faisait, quand même des petites phrases à l’intérieur. L’objectif c’est qu’il se détache de tous ce qui est linéaire. Donc, juste, il ne reste que le plus important. Et là maintenant, il a compris, et ça fonctionne tous seul, il se fait vraiment des cartes comparatives, il se fait ses cartes sur toutes les matières quasiment, et ça permet vraiment d’organiser, de structurer ses pensées.
Et puis après, il met des couleurs, pour les enfants qui sont très visuels, ça va leur permettre vraiment de capter ce qui est dans leur tête, tient, ça c’était… je dis ça, c’était en bleu, vraiment je me rappelle vraiment de cette leçon.
Et c’est développer le langage, vraiment, parce qu’on quand on utilise milles et un mot des adultes, c’est des choses qui sont plaquées, alors là c’est justement l’essentiel, avec leur propre langage, ils vont pouvoir, analyser en fait la situation.
Mais par contre souvent, si c’est de l’histoire, ils parlent souvent d’un texte, ou simplement, alors ils ont leurs livres d’histoires, et là ils ont tous les chapitres qu’ils ont découvert les mots auparavant, il faut qu’ils aient eu une préparation.
Et après, ils ont une mise en commun de leurs pensées et alors, justement l’extension de cette carte mentale, nous ce qu’on fait aussi souvent à l’école, mais ça demande plus de temps, cette fois-ci, pour l’enseignant un tout petit peu de préparation, c’est ce qu’on appelle un lapbook, un outil d’apprentissage efficace.
Je ne sais pas si vous savez ce que c’est un lapbook ? En faite c’est comme une carte mentale, mais sous forme de petits dossiers, vous savez, des chemises cartonnées,
On va prendre simplement une, qui permet d’avoir le recto-verso donc ça fait 4 pages, soit on en rajoute une deuxième, à partir de document qu’on va leur photocopier, de pliage, parce qu’en faite, l’objectif c’est utiliser des choses à manipuler.
Qu’ils posent sur leurs leçons mais tout en s’amusant, les enfants ils ont besoin de s’amuser, et de découvrir des choses.
Donc tous je les ai à l’école, je vous en ferai parvenir un par Pauline, et à partir d’un lapbook, et bien à l’intérieur de ce lapbook, la leçon sur le moyen âge tous ce qui est à regarder en mémoire de moyen âge. Donc on va faire la page de garde, je vais la photocopier, je leur donnais soit une carte, des rois, des personnages, des petites photos, justement de différentes personnages qu’ils vont mettre dans un enveloppe, qu’ils vont marquer roi de France, roi du moyen âge, roi essentiel du moyen âge.

Dans un autre papier, il y aura, une petite frise chronologique, ils devront à nouveau colorer certaines choses, de resituer au niveau de la frise du temps, les différentes périodes qu’on a étudié.
Dans un autre document, ils auront un petit document, avec 2 ou 3 questions à analyser.

Ils vont avoir un dessin, à reproduire, par exemple, un personnage historique plus important qu’un autre, le roi si c’est au moyen âge par exemple, je vais dire, on va dire Clovis ou on va dire Charlemagne, ils vont avoir le personnage à faire en dessin.

Parce qu’en fait, à travers différentes activités, qu’on va leur mettre à l’intérieur de ce lapbook, ils vont s’approprier la notion, ils vont avoir plaisir à ouvrir l’enveloppe, et à intégrer tout ça, c’est comme un livre, qu’ils vont découvrir au fur et à mesure. Ils se construisent leurs livres en se construisant la notion.

Ce lapbook c’est quelque chose qu’ils adorent parce qu’il y du découpage, du collage, du montage, c’est très visuel, ils en prennent très soin, ils décorent tous.

Donc la carte mentale elle représente, le travail synthétisé ?

oui c’est ça, et à la fin on peut imaginer et mettre une carte mentale juste sous cette forme là, pour qu’ils puissent à nouveau reprendre la notion et ça c’est à eux de le faire en groupe, à partir des documents qu’ils ont pu avoir dans ce lapbook, ils peuvent se représenter leurs cartes mentales, et mois le lapbook] j’en fais aussi, parfois en cadeau.

C’est-à dire que ai fait l’année dernière un lapbook pour la fête des mamans, en page de garde ils avaient fait les dessins de leur maman, sous forme vraiment de dessin, ils avaient tous bien décoré la page de garde, et à l’intérieur ils avaient produit un poème, ils avaient écrit pourquoi et ce qu’ils aimaient faire avec leurs mamans,

Ils avaient pris leurs petits papiers en mettant les parfums de leurs mamans, certes, ce lapbook, on peut l’utiliser dans tous les domaines.

Aussi bien en art visuel, que pour une notion de l’histoire, du français, et n’importe quoi, en bien cette année, je vais en faire un justement rapport au français, sur tous ce qui est pluriels.

La notion des pluriels et d’accord, et ça c’est très complexe pour les enfants, parce que du coup ils ont du mal à se représenter. Mais ce lapbook va être construit au fil de l’année, au fur et à mesure, qu’ils vont voir une nouvelle notion par rapport et à se rapprocher aux accords, ça va leur permettre d’avoir quelques choses de visuel, en l’enrichir au fur et à mesure des années. Et ça c’est vraiment très bien parce que même les enfants ont des difficultés,

Comme il n’y a plus de l’aspect linéaire de la chose, ils ont moins de chance de faire de la faute d’orthographe. Ils n’ont plus que des mots à écrire, et avec l’aide des autres, ça va leur permettre de synthétiser leurs pensées.

J’en ai eu un lapbook, pour la fête des pères, j’en ai eu un !

Alors moi je l’avais fait à la fête des mamans, mais non à la fête des papas, je sais si je l’ai fait à la fête des pères. Mais dans tous les cas je sais que c’est quelque chose de très visuelle. Et ça permet vraiment de travailler tous les domaines. C’est très alaire c’est à-dire que c’est quelque chose qui date de très longtemps parce que je ne sais plus qu’elle en était la source de ces cartes mentales, je crois que les militaires les utilisent pour analyser une situation donnée quand ils ont une action à faire, ils utilisent aussi les cartes mentales.

Dans tous les domaines et dans le monde du travail, je pense qu’il y a des gens qui les utilisent, il y en a d’autres qui ne le font pas encore, et je pense que ça devrais vraiment permettre aux gens de s’y retrouver réellement et de mieux comprendre les choses que de leur donner des dossiers et des dossiers à lire et à comprendre, en synthétisant les idées comme ça permet vraiment,

Et tous ce qui est dans la vente aussi, dans votre domaine, ben, moi je trouve que c’est quelque chose qui permet quand même d’organiser ses idées.

Effectivement, développer tous les tenants sur un mode non linéaire, parce que effectivement la vente c’est typiquement le type de domaine où il n’y a pas de début il n’y a pas de fin , on est juste dans l’échange et dans la découverte

A l’heure actuelle, sur internet, on trouve toutes sortes d’outils qui nous permettent aussi de nous en aspirer pour créer les nôtres. C’est vraiment développé ce genre d’outils, parce que les enfants à l’heure actuelle, ce sont des enfants d’écran, des enfants d’ordinateur, et depuis la carte va leur permettre de se poser à un moment donné, de réfléchir à un moment donné pour apprendre, à tirer l’essentiel des choses.

Ça va très vite maintenant chez les enfants, ils ont tellement de choses à porter de mains, tellement de choses à dire et à voir, et finalement ils apprennent beaucoup de choses. Il faut que ça aille très vite.
Et là en utilisant ce genre d’outil, ça permet à prendre une notion, y a pas de trop de temps à perdre,

Et typiquement, un atelier en petit groupe avec une carte mentale, vous leur donnez combien de temps alors ?

Alors ça en faite, en général c’est autour de 20 minutes, avec les enfants il ne faut pas que ça dure longtemps, même les adultes il ne faut pas que ça dure longtemps parce que vous voyez bien qu’au bout d’une demi-heure, ¾ d’heures, les adultes commencent déjà à décrocher donc avec les enfants c’est au bout de 20 minutes.

A partir du moment où ils ont étudié les documents avant, 20 minutes c’est largement suffisant. Surtout qu’en groupe, ils ont des idées, pleins d’idées c’est vraiment le maximum et puis après, une fois qu’ils ont fait la leur, un peu en brouillon en faite, si ça peu être quelque chose qui restera comme ça sera, en général c’est souvent comme ça, c’est figé à un moment donné.

Mais s’ils peuvent aussi très bien, l’utiliser comme étant un brouillon, moi je le ramasse, je regarde un peu ce qu’ils ont mis, et puis après, on peu trouver en collectif, refondre une nouvelle carte mentale qui est et sera ce qu’ils auront dans leur cahier. Ça peut être la leur, et ça peut être qu’une, et je parle de ce qu’ils ont trouvé, pour en faire une collective.

Et le travail sur un lapbook ? pour situer un lapbook, ça peut être beaucoup plus long alors ?

Alors là c’est extrêmement lent par contre parce que du coup pour nous ça demande beaucoup de travail en amont, déjà il faut chercher nos documents, en général on ne demande pas les documents aux enfants parce que on voit sur internet, ils apportent les documents qu’ils ont imprimé sur internet, ils n’ont pas lu, ils n’ont rien vu du tout, souvent ils vont voir chez les adultes, dans des choses adultes, et les enfants ils n’en retiennent rien !

Nous on préfère apporter les documents, et à partir de ça, ils construisent leur lapbook. Et c’est vrai que c’est quelque chose qui est long parce que, il faut faire du découpage, il faut faire du collage, ça travaille tous ce qui est motricité.

Et les enfants ils ont vraiment besoin de construire en faite, donc il faut que ce soit bien mis à un bon endroit et pas à un autre, il faut être assez directif, c’est justement avoir quelque chose au final, qui leur fasse vraiment à l’ouvrir et qu’ils ont plaisir à l’ouvrir.

Ils l’ont construit avec nous, il faut qu’il y ait quand même une certaine notion de soi que ça fait travailler tout ce qui est aspect éthique, d’une œuvre, c’est une œuvre d’art finalement, un lapbook aussi, c’est vrai que c’est très important que ce soit propre.

Donc, un lapbook, par exemple, celui que j’avais fait moi sur l’histoire, puisque j’avais fait aussi sur l’art roman et l’art gothique, on a dû mettre 4 séances d’une bonne heure, ça fait 4 heures à peu près sur un lapbook mais par contre, la notion, elle est construite !

Ça veut dire qu’au lieu de faire une leçon sur l’art roman, sur l’art gothique, et puis après de faire des recherches, et finalement, à travers ce lapbook là, ils ont tous compris, et ce qu’il leur en reste c’est vraiment quelque chose de très concret.

En faite ce que les gens ou les enfants ne comprennent pas, c’est que parfois il vaut mieux perdre du temps, pour construire quelque chose, sur la notion, parce qu’après c’est du temps gagné, pour leur donner des outils, quand ils seront grands, c’est donner des outils pour qu’ils puissent actualiser leurs idées, et nous on a l’impression parfois, on a le programme scolaire à faire, moi je m’en fiche, si j’ai pas fini de faire mon programme, ça m’est complètement égal,

Par contre ce qui est important c’est que la notion soit construite et qu’ils la gardent, parce quand ils passent d’une classe à une autre, ce n’est pas grand-chose, il leur reste la moitié, de ce qu’on leur a appris.

Néanmoins, si cette moitié a été bonne, s’ils la gardent en mémoire, les outils qu’ils vont devoir construire pendant l’année, comme les cartes mentales, les lapbook, les documents, et ben ça ça va leur servir dans la vie, ils ne font pas des lapbook au quotidien, mais par contre ils auront intégré la mission d’essentiel.

Le lapbook et la carte mentale, vous les utilisez depuis pas mal de temps ?

Les cartes mentales, je les utilise depuis à peu près Justine, en fait, je n’avais pas découvert, je faisais, beaucoup de choses au tableau, mais du coup je ne fais pas, et c’est vraiment depuis 2 ans, 2, 3 ans, en fait.

Et c’est en échangeant avec des collègues que, on fait des réunions tous le temps, pédagogiques, et en échangeant beaucoup sur comment on procédait, et ben c’est là qu’on a aperçu, on faisait tous des cartes mentales, et qu’on en gardait pas forcement une trace écrite.

Et donc, nous on a pensés que, il fallait vraiment que les enfants puissent utiliser et apprendre à les construire. Ça fait à peu près deux trois ans, oui,que depuis tout petit, depuis le CP, on commence à leur construire des cartes mentales, justement.

Et au fur et à mesure, quand je leur ai dit, bon on va faire une carte, alors tout de suite les enfants ils disent, oui, c’est la carte mentale, on sait ce que c’est, donc, on va y aller, y a pas de soucis. Ils savent très bien ce que c’est.

Et vous avez trouvé des sites internet qui sont assez bien déclarants là-dessus ?

Alors vous avez, là ce qui est dommage c’est que j’ai pas de connexion ici mais vous avez la « classedestephanie » et y a aussi « lola » je crois, « lolamaitresse » ou « lamaitresselola ».
Après vous allez sur le site internet et il y a énormément de sites qui vous permettent de retrouver ce genre de chose et là vous en trouvez énormément pour le scolaire, il faut toujours taper si vous voulez ce qu’on ne connait pas.

Attendez, vous écrivez carte mentale, CM1 ou CM2, ou la classe et là vous allez avoir une profusion de choses qui vont vous permettre d’avoir un panel pour le scolaire.

Alors là dans le monde professionnel, je n’ai pas le temps de regarder mais je pense qu’il y a aussi des sites dans le monde professionnel où vous pouvez réutiliser tous ces outils dans votre domaine, qui vous permettent de développer justement ce genre de concept.

Et vous en montrez sur le TBI alors?

J’en montre sur le TBI, moi je l’utilise vraiment beaucoup. C’est un outil pédagogique que l’on utilise vraiment tous le temps, et ça permet vraiment d’avoir quelque chose visuellement.

Mais en même temps, ce que je ne veux pas, c’est de leur montrer quelque chose de tout fait, pour qu’après ils fassent du copier-coller. Mieux qu’on parte de quelque chose d’inconnu.

Mais par contre ce qu’il en faut c’est qu’on en fasse aussi ensemble. Sinon, ils ne savent pas trop bien, où ils vont, moi, je l’ai fait cette semaine, vraiment avec les vacances, pour la religion, c’est que je suis de culture religieuse,

Et quand je m’explique pour eux la notion de religion, je ne suis pas partie de quelque chose de tout fait. Je les ai mis vraiment en groupe et j’avais dit vous faites un brainstorming et j’utilise d’ailleurs même ces mots là, parce que ce sont des mots qu’ils entendent finalement à l’école tout le temps,

Donc vous faites un petit brainstorming, ça va vous donner ce que c’est une carte mentale, sur c’est ce que c’est la religion pour vous, et là, il y a des enfants qui ont été complètement, ils étaient dans la page blanche, ils s’imaginaient pas, il y a des enfants qu’ils ont entendu, en petit groupe, comme ils s’entendent les uns des autres, ils entendirent ce que disaient les autres, et pratiquement, ça leur a permis de se lancer vraiment sur l’idée, une richesse incroyable sur ce genre de chose.

Voyez, là ce site là, il y a la classe, celui là il est très intéressant parce que vous en avez beaucoup, ça c’est un très bon site internet. Et ça permet vraiment, en faite si on regarde bien, ce sont tous les documents d’ailleurs, qu’on trouve dans nos livres d’histoires, qu’ils voient au fur et à mesure, ici on a aussi souvent,

Moi je travaille beaucoup avec des petites personnages sur la classe grammaticale, je travaille avec des personnages, sur les verbes, les pronoms personnel, et les sujets tous ça, et c’est très visuel, ils aiment énormément tout ça, parce que visuellement parlant, ils se raccrochent à ça.

Ils savent très bien l’utiliser, et les enfants qui sont dyslexiques, il y a les enfants qui ont du mal à obtenir, ils sont plus à l’aise.

Alors pour le coup, par exemple, ils sont très timides, très renfermés, il y a des enfants qui vont très bien réussir leur carte, ils auront du mal après à s’exprimer. Mais c’est aussi leur faire travailler cet aspect là, verbal, qui est essentiel dans la communication. Donc moi j’expérimente tous ça sur mes élèves, et puis sur mes enfants.

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